Avec la mise en place du CPF (Compte Personnel de Formation) il est devenu plus facile de pouvoir faire une formation. Que ce soit pour consolider des compétences, acquérir un nouveau savoir ou pour une reconversion  professionnelle totale, nous passerons presque tous, à un moment ou à un autre de notre vie, par la case formation. Cependant il existe plusieurs types de formations (diplômante, qualifiante ou encore certifiante) et il peut être difficile de s’y retrouver. C’est pourquoi dans cet article nous allons nous pencher sur la différence entre une formation certifiante et une formation qualifiante.

Qu’est-ce qu’une formation certifiante ?

Comme son nom l’indique à la fin de cette formation il vous sera délivré un certificat (reconnu par diverses branches professionnelles) attestant de votre participation à la formation.  Ces formations ont été créées par, et pour,  les entreprises, elles s’adressent donc aux personnes qui sont déjà entrées dans la vie active.  Les formations certifiantes sont donc des formations courtes qui apportent de nouvelles compétences en rapport avec un métier précis.  Afin de connaitre la valeur d’une formation certifiante il est important de veiller à ce qu’elle corresponde aux normes en vigueur comme par exemple les normes ISO et AFNOR entre autres.

Il existe deux grands types de formations certifiantes :

  • Les titres professionnels : Ils sont délivrés par le ministère de l’emploi et ils sont enregistrés dans le RNCP (Répertoire National des Certifications Professionnelles). Il existe plus de 300 titres professionnels à ce jour permettant de justifier le suivi d’une formation dans le but d’acquérir des qualifications et des compétences précises.
  • Les Certificats de Qualification Professionnelle : ils sont spécifiques à une branche professionnelle (c’est d’ailleurs par elle qu’ils sont créés).  Ces CQP sont donc reconnus par les entreprises mais pas officiellement par l’État. Cependant, comme ils ont été créés par des entreprises ils sont très appréciés car ils sont en adéquation avec la réalité du métier et des compétences nécessaires.

La formation certifiante est donc plutôt à privilégier pour les salariés souhaitant acquérir une compétence précise et spécifique à leur métier. Elle n’a pas pour vocation de permettre à une personne d’acquérir des compétences transversales afin de pouvoir travailler dans d’autres secteurs d’activité. Les organismes de formation ont des logiciels (comme ceux proposés par le site de Val Software) pour délivrer des certificats de formation.

Qu’est-ce que la formation qualifiante ?

Contrairement à la formation certifiante la formation qualifiante ne permet pas d’obtenir un certificat. Cependant il est possible qu’à la fin de la formation qualifiante une attestation de stage ou un document soit remis aux participants afin de prouver qu’ils ont bien suivi l’intégralité de la formation. Cette attestation n’est pas officiellement reconnue par l’État mais elle peut être reconnue par le milieu professionnel concerné et par Pôle Emploi.  

La formation qualifiante s’adresse donc à tous les salariés, qu’ils soient nouveaux dans l’entreprise ou déjà en poste, et à pour but de leur permettre d’acquérir de nouvelles compétences dans leur métier ce qui pourra leur permettre d’évoluer dans leur carrière professionnelle.  La formation qualifiante est souvent éligible au CPF et elle permet d’être tout de suite opérationnel à son poste, ou elle peut servir à changer de poste grâce à l’acquisition de nouvelles compétences.

Avant de vous orienter vers l’une ou l’autre de ces formations, il est important de définir quel est votre objectif final et savoir si vous souhaitez obtenir un certificat reconnu par l’État ou non. Si votre poste actuel vous convient et que vous n’avez pas l’envie d’évoluer ou d’en changer une formation certifiante peut correspondre à vos attentes. Cependant, si vous avez envie d’acquérir de nouvelles compétences dans l’optique d’évoluer au sein de votre entreprise, alors une formation qualifiante sera plus à même de répondre à vos besoins.

Prélèvement à la source

A compter de cette nouvelle année 2019, l’impôt sur le revenu ne fait plus l’objet d’un recouvrement sur avis d’imposition, il est directement prélevé à la source qu’il s’agisse de salaires, de pensions, d’indemnités, de revenus fonciers, de bénéfices industriels et commerciaux (BIC) ou des bénéfices non commerciaux (BC). D’après le ministère de l’Action et des Comptes publics, quelques 25 millions de salariés dans le privé et dans le public auront reçu en janvier leur fiche de paie incluant le fameux prélèvement à la source. Le point sur ce qui change vraiment avec le prélèvement à la source.

L’intérêt du prélèvement à la source

Selon le gouvernement, l’intérêt principal de cette réforme consiste à prélever les impôts des ménages en temps réel. Ainsi, c’est lorsque les revenus imposables sont versés que l’impôt est collecté, au lieu du cheminement traditionnel de la perception du salaire, la déclaration des revenus et le paiement de l’impôt. Ce nouveau mode de prélèvement évite de mettre les contribuables dans une situation financière difficile, sachant qu’auparavant, l’impôt n’est prélevé qu’un an plus tard malgré un changement financier dans leur vie comme un chômage ou un départ en retraite par exemple.

Les revenus en cas de changement de situation

Si le contribuable doit faire face à un changement de situation qui implique une baisse du revenu, le taux de prélèvement diminue aussi proportionnellement. Dans le cas inverse, une augmentation de revenu impliquera une augmentation du taux de prélèvement. Le montant du prélèvement à la source est donc très variable en cours d’année selon l’évolution des revenus du contribuable.

Pour ce qui est des travailleurs indépendants et les agriculteurs, un changement de situation peut aussi conduire à une actualisation des acomptes en cours d’année.

Pour les revenus des personnes retraitées et les revenus de remplacement, une évolution à la hausse ou à la baisse conduit automatiquement à un changement proportionnel du taux de prélèvement.

Pour l’employeur

L’application du prélèvement à la source implique des formalités pour l’employeur qui devra reverser à l’administration fiscale, l’impôt dû mensuellement par le salarié imposable. L’employeur se transforme alors en un collecteur de l’impôt sur le revenu et c’est la DGFiP qui lui transmet le taux à appliquer sur le salaire net. Le taux de prélèvement peut augmenter ou diminuer en cours d’année selon l’évolution de la situation personnelle du salarié, sans que l’employeur n’en soit préalablement informé.

La fiche de paie

A partir de janvier 2019, la fiche de paie que le salarié reçoit tous les mois intègre directement les éléments suivants, l’assiette du prélèvement, le taux de prélèvement appliqué et également le montant du salaire sans le prélèvement à la source.

Un prélèvement net

Le système du prélèvement à la source est applicable sur le salaire net après que les diverses cotisations sociales aient été déduites sur le salaire brut. Le salaire net imposable est alors bien différencié par rapport au salaire net versé, soit le montant perçu par le salarié après l’impôt.

Les réductions d’impôt

Le prélèvement à la source implique une modification du principe d’imputation des crédits ainsi que des réductions d’impôt. Ainsi, afin que le décalage de trésorerie ne soit trop conséquent pour le contribuable, le gouvernement a prévu un versement d’acompte à hauteur de 60% du crédit ou de la réduction d’impôt dès le mois de janvier.

Le réchauffement climatique

Les activités humaines comme l’usage de combustibles fossiles, l’exploitation des forêts tropicales et l’élevage du bétail peuvent être parmi les causes du réchauffement climatique. Ces éléments ont une grande influence sur le climat et la température de la terre. Découvrez dans cet article tous les détails sur phénomène mondial qui affecte tous les êtres vivants.

Qu’entend-on par réchauffement climatique ?

Il s’agit d’un phénomène général de transformation du climat marqué par une élévation des températures moyennes, et qui change fortement les équilibres météorologiques et les écosystèmes.

Actuellement, quand on parle de réchauffement climatique, cela ramène à un phénomène d’accroissement de températures qu’on a rencontré sur la planète Terre depuis plus de 100 ans. À partir du début de la révolution industrielle, les températures moyennes sur terre se sont souvent élevées. Il y a trois ans, cette température était environ de 1 à 1,5 degré dépassant largement la moyenne de l’époque préindustrielle durant les années 1850.

Les gaz à effet de serre contribuent au changement climatique

Plusieurs scientifiques affirment que l’humanité n’est pas vraiment à l’origine du réchauffement climatique, ceci s’explique par le fait que la quantité de CO2 évacuée dans l’atmosphère par les activités des hommes n’a pas d’effets concrets sur le climat et l’écosystème.

Ils proposent l’hypothèse que ces gaz sont soit contrôlés par les écosystèmes, soit qu’ils ne soient pas rejetés intensément pour avoir un effet, ou que d’autres gaz tels que la vapeur d’eau ont plus d’impact sur le réchauffement climatique que le CO2 résultant des activités des industries. En effet, quelques quantités de CO2 sont puisées par l’océan et par les plantes, mais elles ne sont pas assez régulées, ce qui fait qu’à part les gaz à effet de serre, les activités humaines représentent relativement une cause du changement climatique.

Ses impacts sur l’écosystème et la planète

Suite à l’augmentation des températures due au réchauffement climatique, tout l’écosystème mondial sera affecté. Cela trouble la météo et accroit les grands phénomènes météorologiques provoquant des variations de ses modèles usuels. Par conséquent, on rencontre plus de tempêtes, plus d’inondations, plus de cyclones et de sécheresses.

Cette hausse de température empêche les océans d’effectuer sa mission qui est celle de la régulation. Si les températures en général continuent à s’élever considérablement, les niveaux des océans s’accroitront également, mais en entrainant une acidification et une désoxygénation des zones océaniques. En outre, ce phénomène peut avoir de l’impact sur les zones de forêts et les écosystèmes fragiles et sur la biodiversité comme les coraux, les insectes, les mammifères risqueraient de disparaitre.

Les effets du réchauffement climatique sur la société et l’économie

Le réchauffement climatique a des impacts sur la société et l’économie. Ainsi, la société ne pourra pas s’adapter à un nouveau climat, leurs infrastructures doivent alors être modifiées, ce phénomène aura également une lourde conséquence sur la santé humaine et il réduira la capacité alimentaire des pays.

La lutte contre le réchauffement climatique

Pour pouvoir se débarrasser du réchauffement climatique, il faut commencer par la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Pour ce faire, le mieux c’est de privilégier les énergies renouvelables et de se défaire des énergies fossiles. Il est alors important de diminuer la consommation énergétique et éviter de gaspiller les nourritures. L’humanité doit un autre mode de vie qui met en valeur l’écologie.

L'affaire du siècle

La pétition est le meilleur moyen pour faire une requête ou pour dénoncer une injustice, « l’affaire du siècle » qui met en scène 4 ONG projetant à attaquer en justice l’État pour négligence face au réchauffement de la terre. Ainsi, ces organismes ont pu recueillir plus de 2 millions de signatures en moins d’un mois et cette mobilisation en ligne a touché beaucoup de citoyens qu’ils projettent d’arriver à en recueillir davantage.

« L’affaire du siècle », quand l’État est montré du doigt

La démission de Nicolas Hulot a étonné plus d’un et voilà que l’État vient de faire l’objet d’une autre épreuve, une éventualité à passer devant la justice pour cause d’ « inaction devant le réchauffement de la terre ». Quatre ONG, dont l’initiateur est « Notre affaire à tous », se sont donné la main pour mobiliser en ligne les Français et demander à signer la fameuse pétition.

Fondation pour la Nature et l’Homme, Greenpeace et Oxfam France se sont joints à la présidente de cette association pour signer la sonnette d’alarme afin que l’État réagisse. Les dégâts causés par ce changement climatique sont nombreux et commencent déjà à se faire sentir : fonte des glaces, montées des eaux, pollution de l’air, inondations répétitives, menace de disparition de certaines espèces végétales et animales et autres.

Le climat et les 2 millions de signatures

Ce problème affecte particulièrement les Français qu’en 36 heures après le lancement de la pétition en ligne, le mouvement initié par les quatre ONG a pu recueillir plus d’un million de signatures. Particulièrement touchés par les dangers que peut provoquer ce changement climatique, les Français ne se sont pas faits prié pour s’adhérer à la cause.

Surprenante, cette pétition devient l’affaire de tous quand on pense que celle qui a été lancée par Priscilla Ludovsky qui s’est démenée ait recueilli quelque 1,2 million de signatures afin de dénoncer la hausse du prix de carburant et a déclenché le mouvement du « gilet jaune » et que la pétition initiée par Caroline de Haas, en 2016, contre la loi El Kohmri a pu réunir 1,4 million de signatures.

Quel en sera l’issue ?

Les ONG ne cachent pas leur satisfaction et veulent en faire plus quand ils ont déclaré dans un communiqué : « en soutenant l’Affaire du Siècle, plus de deux millions de citoyennes et citoyens expriment aujourd’hui leur espoir de voir les choses changer et soutiennent la demande faite au gouvernement de mettre un terme à l’inaction climatique de la France depuis plusieurs décennies ».

La pétition est encore ouverte et les ONG pensent pouvoir atteindre les 3 à 4 millions de signatures pour pouvoir porter devant la justice ce qu’ils jugent de « carence fautive » par cette « inaction défaillante » qui doit se focaliser sur la réduction d’émission de gaz à effet de serre. L’État, par le biais de ses représentants auront tout juste deux mois pour répondre à leur requête et éventuellement, un recours juridique devant le tribunal administratif de Paris serait envisagé. Notons que ce sera une première !

Addiction aux jeux vidéo

S’il y a des dépendances qui sévissent actuellement les enfants, les jeunes et surtout les adultes, l’addiction aux jeux vidéo touche un grand nombre de personnes. Souvent passée inaperçue, cette dépendance est tout aussi nocive que les autres, et il faut avoir un bon esprit de contemplation et d’observation pour reconnaître les attitudes alarmantes chez le « malade » car, oui, cette addiction est désormais considérée comme telle par l’OMS.

Les jeux vidéo, une distraction qui peut tourner en fléau

Les statistiques font état actuel de 2,5 milliards de joueurs de jeux vidéo, qui peuvent partir d’un simple jeu de gamers aux jeux d’argent. Actuellement, les enfants commencent très tôt aux jeux avec le « Minecraft » et les « Mortal kombat », comme les supports tendent aussi à se démocratiser, puisqu’il suffit de les télécharger sur l’ordinateur ou sur le smartphone pour y avoir accès.

Certes, beaucoup d’adolescents commencent à considérer les jeux comme échappatoires aux impératifs de la vie, mais il suffit d’une inattention de la part des parents et surtout une certaine attitude permissive, voire laxiste et la dépendance prend forme. Mais l’addiction aux jeux vidéo, dans son terme le plus connu, concerne surtout les adultes qui arrivent à rester des heures devant leur machine pour parier, pour miser sur ces jeux en ligne et léser ainsi leur vie tout en portant atteinte à leur entourage.

Quand ces signes surviennent, l’addiction est effective

Comme ces jeux sont facilement accessibles, il est fortement conseillé de surveiller certaines choses, ou plutôt certains comportements quand il s’agit d’adolescent. Ainsi, si vous remarquez que votre enfant devient triste sans raison, réclame de rester seul dans sa chambre, passe son temps devant l’ordinateur et rapporte de mauvaises notes à la maison, il est temps de s’alarmer.

Des changements comportementaux sont aussi enregistrés chez les adultes, si votre mari ou un membre de votre famille présentent les symptômes suivants, tirer la sonnette d’alarme : sa conversation tourne autour du jeu sur des nouveaux logiciels et des tendances ; il s’enferme dans son soi-disant bureau pendant des heures et tous les jours ; il éprouve une certaine euphorie et une grande excitation à l’idée de se trouver devant sa machine ou, au contraire, il est irrité quand on lui demande de faire une chose et surtout quand il est en conflit avec lui-même, avec son entourage, avec les collègues.

Des traitements efficaces

L’addiction aux jeux vidéo, une fois détectée, doit faire l’objet de traitements. Certes, il n’existe aucun centre de soins ni de spécialistes pour ce genre de dépendance, contrairement à d’autres addictions comme l’alcool ou la drogue, mais une thérapie est nécessaire pour connaître le fond du problème. Il faut être toujours à l’écoute du sujet.

Pour un enfant ou un adolescent, il faut préconiser les jeux en groupe et inculquer des disciplines, surtout quand il s’agit de virtuel. Il ne faut surtout pas le laisser dans l’isolement, et lui prêter une oreille est un moyen pour savoir ce qu’il ressent, car se cacher dans les jeux pourrait révéler un mal-être.

Activités à faire avec son enfant un jour férié

Un vrai casse-tête que de chercher des activités pour son enfant quand il n’a pas école. Un jour férié est censé être un temps de répit sans pour autant plonger dans l’oisiveté, d’autant plus que votre enfant pourra vous dire incessamment qu’il s’ennuie. Il est alors nécessaire de lui trouver, et mieux encore, de partager avec lui des occupations. Plusieurs jeux et loisirs peuvent être faits ensemble, seulement, il faut savoir les choisir adaptés et à vous et à votre enfant.

Des activités pour une meilleure complicité

Plusieurs jours fériés sont inscrits dans le calendrier pour cette année, mais occuper son enfant reste la galère de certains parents, surtout à un certain âge, et que vous voulez raffermir les liens qui vous unissent pour mieux l’écouter et vice-versa, pour qu’il vous écoute aussi. Il y a des occupations que vous pourrez alors faire ensemble, entre autres, regarder des séries sur Netflix dont beaucoup de foyers en sont abonnés.

Rien de mieux que de préparer un bon bol de pop-corn ou un repas-télé et d’être bien calé dans le grand canapé et choisir ensemble un film. Seulement, il faut bien veiller à ce que votre choix soit approprié à l’âge de votre enfant. Il y a alors les dessins-animés qui sont adaptés à son jeune âge, et essayez de participer avec lui avec des commentaires pertinents. Préférez les films d’animation qui tournent autour d’une aventure, d’une exploration ou d’histoire vraie, vous pourrez ensuite discuter sur le sujet après. Pour les pré-adolescents et les jeunes adultes, vous pourrez regarder avec eux des nouveautés afin d’avoir quelques choses à partager avec eux.

Des occupations plus productives

Si vous n’êtes pas très « virtuel » et que vous voulez passer des moments inoubliables avec votre enfant, vous pourrez l’initier au jardinage et planter ensemble des fleurs dont il sera fier quand elles fleuriront, ou un arbre qu’il va voir grandir avec lui. Vous pourrez aussi passer toute la matinée dans la cuisine en concoctant ensemble un bon déjeuner pour la famille et vous mettre ensemble en pâtisserie.

Entre une mère et sa fille, réaliser ensemble un beau patchwork est un défi, ou se mettre au tricot pour confectionner une belle écharpe. Pour un père et son fils, un bon jogging ensemble le matin, suivi d’un beau match de basket permettent de tisser un lien plus fort. Si toute la famille veut être au grand complet, des jeux de société restent les meilleures idées pour passer ensemble une journée entière : du Monopoly, du Scrabble ou des jeux de cartes feront une belle animation.

Les meilleures attitudes pour une famille monoparentale

Beaucoup de familles se composent d’un seul parent, essentiellement d’une mère seule avec son enfant, et des activités à partager avec lui doivent combler cette absence de « l’autre ». Quand on est maman célibataire, trouver l’équilibre est une chose plutôt compliquée, seulement, par choix ou par nécessité, il faut savoir bien s’entourer. En effet, être seule à élever son enfant n’implique pas la solitude dans tous les cas, il y a des clubs, il y a des amis et il y a des proches avec lesquels on peut toujours partager des moments heureux, surtout quand l’occasion le permet, un jour férié par exemple.

Certes, vous avez des moments pendant lesquels vous pourrez, et devez, vous occuper de vous, et vous ne devez pas vous sentir coupable pendant ces temps, mais quand il s’agit de partager des moments avec votre enfant, ne vous privez pas d’une autre présence, comme vous passez votre quotidien ensemble, rien que vous et votre enfant. La complicité sera encore plus présente même si vous passez une journée avec d’autres personnes.

N’hésitez pas à concerter avec lui sur ce que vous pouvez faire ensemble, ne vous sentez pas coupable en disant « non » sur certaines choses, soyez ferme dans votre décision, et si votre enfant demande une explication, n’hésitez pas à lui en donner, non pour vous justifier mais pour lui faire savoir la teneur de votre décision.

Les principaux projets de lois du gouvernement

Le gouvernement prévoit de mettre en œuvre de nombreuses réformes et autres projets de loi dans les prochains mois. Depuis l’assurance chômage à la santé au travail en passant par la réforme des retraites, sans oublier le renforcement de la sécurité intérieure et la lutte contre le terrorisme, le gouvernement et ses collaborateurs ne risquent pas de s’ennuyer. Voici les principaux projets de lois du gouvernement Macron.

L’assurance chômage

Selon le programme de travail transmis aux syndicats et représentants sociaux en septembre 2018, « la nouvelle convention d’assurance chômage devra permettre sur trois ans de dégager entre 1 à 1,3 milliards d’euros d’économie en moyenne annuelle ». Cette stratégie permettrait d’opérer une diminution des dépenses dans l’ordre de 3 à 4 milliards d’euros d’ici 2022.

Toutefois, les syndicats se montreraient plutôt réticents face à cette réforme qui conduirait à une réduction de l’indemnisation des chômeurs. Quant aux représentants sociaux, ils ne sont pas enthousiastes à la promesse de campagne d’Emmanuel Macron, celle du bonus-malus sur les CDD.

Un des projets de lois concerne la santé au travail

La santé au travail a également fait l’objet d’un projet de loi. Selon la ministre du travail, « notre priorité est la prévention, domaine dans lequel nous ne sommes pas assez bons. Le dispositif est assez illisible et couvre mal les TPE-PME ». Par ailleurs, l’État français souhaite également réviser la prise en charge des arrêts maladie qui créent de lourdes dépenses pour le budget du pays. En effet, entre 2010 et 2017, les dépenses pour arrêt maladie ont coûté quelques 7,3 milliards d’euros à l’État.

La réforme de la retraite

Dossier très sensible et sujet à de nombreuses polémiques, la question de la retraite fait partie des principaux projets de loi du gouvernement. Parmi les promesses électorales d’Emmanuel Macron, la réforme des retraites. Selon les souhaits du Président, les quelques 42 régimes obligatoires qui coexistent jusqu’alors seront regroupés sous un même principe, celui du « euro cotisé donne les mêmes droits, quel que soit le statut de celui qui a cotisé ».

Si le chef de l’État veut un système « universel » de retraite, les questions sur la nature des pensions de reversions, la maternité ou encore les cas de handicap… sont encore à étudier.

La transformation de l’action publique

Essentielle pour satisfaire les besoins évolutifs de la société d’aujourd’hui comme la vulgarisation du numérique, le développement des usages collaboratifs… la transformation publique fait partie des projets de lois gouvernementaux. Il s’agit pour les usagers d’apporter une amélioration de la qualité des services publics ; pour les agents publics, il est question d’un nouvel environnement de travail plus moderne et pour les contribuables, une baisse des dépenses publiques d’ici 2022.

Le renforcement de la sécurité intérieure et la lutte contre le terrorisme

Les menaces terroristes étant devenues une priorité d’État, les projets de loi concernant le sujet concernent des mesures phares qui consistent à mettre en place entre autres des périmètres de protection pour assurer la sécurité lors des évènements « à risque » comme les rencontres sportives, les réunions culturelles…, à fermer les lieux cultes qui incitent au terrorisme, à la haine, à autoriser des mesures de surveillance individuelle pour des personnes suspectées « à risque », à ordonner la visite d’un lieu suspecté être fréquenté par des personnes soupçonnées représenter une menace terroriste.

Communication des entreprises

Pour se faire connaitre, les entreprises doivent chercher des idées de communication originales. Cela nécessite de la créativité, car le public risque de ne pas s’y intéresser vu le nombre de sociétés qui font recours à de divers supports de communication. Pour vous démarquer, voici des outils dont vous aurez besoin pour lancer votre entreprise.

La carte de visite : une idée de communication très originale

La plupart des entreprises utilisent une carte de visite pour sa communication, mais si vous voulez avoir une carte unique, suivez ces quelques conseils. Ainsi, nous vous proposons d’opter pour une carte de visite en 3D. En fait, le domaine numérique est actuellement en évolution, ce style de carte vous aidera à montrer l’aspect positif de votre société, c’est également un outil efficace qui permettra aux clients de vous garder en mémoire. Elle est dans la première place en ce qui concerne le digital de 2018, car elle offre un design impressionnant avec un vernis sélectif pouvant apporter un sentiment d’harmonie et de délicatesse.

Vous pouvez aussi opter pour la carte de visite qui peut être découpée à la forme que vous souhaitez, celle-ci peut remplacer la traditionnelle. Ainsi, il est possible d’obtenir une carte en forme de nuage, de maison ou de bouteille de vin, selon votre domaine d’activité.

Une plaquette professionnelle classique

Ce genre de plaquette est parmi les meilleures solutions pour prospecter. L’idée est de joindre le format classique avec un contenu décalé. Vous allez donc vous différencier tout en restant dans les normes. Le plus important est de réaliser une belle finition avec un vernis sélectif ou bien pailleté. Pour plus d’effet, choisissez la plaquette pelliculée de couleur mate soft, elle pourra parfaitement convenir à votre logo.

Un dépliant personnalisé

Il s’agit d’un support de communication très convoité qui sert à partager facilement des messages. En utilisant un dépliant, vous pouvez transmettre de diverses informations à vos clients. Il existe de nombreux formats, de finitions et de plis qui s’offrent à vous. Le dépliant original s’obtient par la combinaison du format distinctif et des supports de qualité comme une dorure.

Une plaquette en forme de flyer

Le flyer est un moyen de communication intéressant de par son côté créatif. Lorsque vous envisagez de créer un flyer, la première chose à vous mettre en tête est que celui-ci serait vraiment unique pour pouvoir capter l’attention. En 2018, il y a eu de différents types de flyers qui ont bien cartonné. En haut de la liste vous pouvez trouver le flyer vernis paillette. C’est une finition exceptionnelle qui rendra vos projets graphiques surprenants.

Les campagnes de pub originales

Dans le but de faire croitre sa visibilité, il est préférable de miser sur les campagnes de pub originales. Vous serez donc amené à concevoir une image originale qui pourra capter le public et l’afficher ensuite. Votre photo devra être en accord avec l’activité de votre société. Une campagne colorée serait bien parmi les idées les plus originales pour booster la communication de votre entreprise.

L'évolution de la société par rapport à la mort

Si autrefois, la mort est assimilée à divers tabous, actuellement, les mœurs ont évolué avec la société et la conception de la perte de la vie se conçoit avec d’autres visions. En effet, le décès et la dépouille, ainsi que la sépulture, suivent une certaine évolution que même les principes et les coutumes prennent…d’autres tournures.

La mort, quand le monument funéraire se personnalise

Les mœurs évoluent, oui, quand on sait qu’autrefois, on apprête au décès, plus particulièrement au défunt, une image lugubre que même la vie des vivants semble être mise « entre parenthèse » pour cesser pendant ce moment, voire quelques mois qui suivent le décès. Aujourd’hui, et depuis le siècle précédent, on n’a plus peur de ces gens dont les activités tournent autour de cet évènement, dont l’appellation péjoratif « croque-mort » n’est plus utilisée. On a même droit à un catalogue de monument funéraire en ligne, et le choix nous sont proposés.

Ainsi, on aura droit à du maquillage pour donner au défunt une allure moins…sombre, on peut parer la chambre funéraire de fleurs et autres décorations, on arrive à faire revivre des souvenirs en diffusant les bons moments du défunt proche en film ou en diapositif, et on aura droit à tout un assortiment de monuments funéraires. Le métier de marbrier funéraire se démocratise jusqu’à offrir des monuments sous forme de..kit, à monter par la famille elle-même.

On peut très bien en…parler

Si parler de la faucheuse était avant très appréhendé, voire interdit, et qu’on lui assigne une image catastrophique, on est actuellement moins protocolaire, moins engourdi quand on invoque le sujet. Ainsi, la censure n’est plus effective sur certains sujets, y compris la fossoyeuse, et on peut avoir une autre vue sur le podcast « Mortel » sur la mort.

Certes, les mots utilisés peuvent encore « blesser » certaines oreilles, mais les thèmes sont objectivement traités, à savoir celui sur la « vie après la mort », celui sur « le poids du deuil », celui sur la « dernière demeure », celui sur le « corps du défunt » ou « voir la mort venir ». Fascinants, suscitant l’appréhension avant, déclenchant la peur et surtout tabous, ces sujets l’étaient avant, et si toutes les notions autour du décès sont cachées des yeux des autres, on reste toujours dans l’intimité mais on arrive à les « confier » à des professionnels dans le domaine.

Le décès à l’Occidental !

On assignait à la mort un caractère tabou, dans sa définition « il serait déplacé d’évoquer, en vertu des convenances sociales ou morales », un essai sur la société occidentale et la mort traite le thème, avec une certaine objectivité. On peut alors en connaître davantage sur le tabou et le déni, ce réflexe qui nous contraint à ne pas en parler et ce refus de le concevoir.

Dans certaines sociétés, comme celle des Africains, on sent un certain interdit qui tourne autour du défunt engendrant des contraintes aux proches, des appréhensions et des croyances à propos des revenants. Dans le concept occidental de la mort, on essaye de la dédramatiser pour l’intégrer dans le concept de « société de maîtrise ».

On reconnaît également cette « postmortalité » qui hante l’homme, généralement celui qui vit dans l’Occident, et qui se traduit par ce refus de vivre la décomposition du corps. Certes, on connaît les fameux élixirs de jeunesse, mais cette hantise se traduit par les chirurgies esthétiques, ces cyborgs virtuels que l’on invente comme des immortels. Et on ne confie plus son décès à la nature, on tend vers la « mort à la carte » comme on anticipe sa venue et la façon avec laquelle elle viendra, on arrive à la rendre moins « douloureuse » et à la retarder le plus longtemps possible.

Chercher un appartement

Un des placements que les Français choisissent actuellement, l’investissement immobilier, notamment l’achat d’un appartement est très tendance. Une telle acquisition doit faire l’objet d’investigations, de recherches minutieuses puisqu’un projet pareil est loin d’être anodin et nécessite une importante somme comme financement. Ainsi, il faut savoir suivre les bonnes démarches avant d’être fixé sur un bien.

Un appartement, un projet à étapes

Ce projet ne se fait pas par un simple caprice ni un coup de tête, c’est un placement qui définira votre futur, celui de votre prochain logement. Il faut alors y réfléchir par deux fois pour faire une bonne affaire : celle qui correspond à vos besoins et qui sera appropriée à votre budget. Procédez d’abord à préparer votre achat en recensant tous les points y afférents, à savoir le type de bien, le nombre de pièces…

Vous devez ensuite imaginer dans le futur ce que sera votre situation : des ressources financières stables, l’éventualité d’un surendettement et autres. Vous devez vous faire conseiller auprès des agences immobilières, auprès du notaire, mais surtout avec une visite sur le terrain. Ne vous précipitez surtout pas, prenez le temps de réfléchir, de comparer, d’étudier le projet et sa faisabilité. Si travaux il y a, il faut les évaluer, et pensez à faire une offre d’achat qui soit cohérente avec le marché pour accréditer votre projet. Et ayez un bon plan de financement quand vous sollicitez des prêts auprès des banques ou d’autres organismes, faites des comparaisons.

Choisissez le bon quartier !

Comme vous voulez faire l’acquisition d’un bien dans cette partie sud de la France, en l’occurrence à Toulouse et ses alentours, vous pourrez penser à investir dans le quartier Compans-Caffarelli. C’est un quartier qui s’inscrit dans la zone B1 sous le dispositif Pinel, cette loi qui vous fera bénéficier d’une défiscalisation et d’un financement sans apport avec un prêt à taux minime, voire à taux zéro.

Plusieurs projets sont en cours dans cette ville et vous offrent des opportunités pour trouver celui qui vous aspire : un grand logement à T5 ou un duplex à T2. Seulement, pensez à confier votre projet à une agence immobilière professionnelle qui vous aidera dans votre recherche et qui vous accompagnera dans vos démarches. Sachez que ce quartier est bien desservi par le métro et quelques lignes de bus, et que des infrastructures modernes sont accessibles, à savoir des commerces, un centre d’affaires, des écoles ainsi qu’une Cité Administrative.

Évaluez votre achat !

La première chose à laquelle vous devez penser quand vous projetez d’acheter un appartement est le budget. Rares sont ceux qui arrivent à faire un autofinancement de leur projet d’achat immobilier, ainsi, il faut également penser à solliciter un prêt auprès des institutions de financement. Mais vous pourrez toujours avoir une idée sur le prix d’un bien immobilier qui, essentiellement, s’évalue au m².

Sachez que le marché de l’immobilier est assez aléatoire pour changer d’année en année, et il serait mieux de se renseigner sur les prix du logement auprès des Chambres notariales ou certains sites, notamment le site Patrim. Un simulateur en ligne vous permet également d’avoir un devis de votre projet.